Bon alors aujourd'hui, pas glop. Pas beaucoup travaillé, bouh.
Demain mieux si Dieu veut.
Et si pas 'nch'Allah ?
mercredi 3 novembre 2010
mercredi 27 octobre 2010
mardi 26 octobre 2010
La solidarité, c'est bien. Contre des lois stupides...Quand je pense qu'ils ont expulsés le squat de Jeudi noir... C'est nul. Pendant ce temps là, on est de plus en plus fliqué... Et on accuse les gens de tout et n'importe quoi pour faire parler...
lundi 20 septembre 2010
vendredi 17 septembre 2010
jeudi 9 septembre 2010
mercredi 8 septembre 2010
Avant je fuyais, me semble-t-il, et là je me sens au pied du mur.
je fuyais des souvenirs désagréables, la pensée de ma famille, de ma toute petite famille. Je voulais régler cela en moi même, seule, entre moi et moi, et puis retourner au milieu de la famille d'un air de rien, comme impassible. Comme si j'étais au dessus de ça.
Et puis à force d'y penser, je me sens l'envie de marquer le coup ; c'est tout récent et pas très fort, mais ça vient. J'ai envie de dire, que j'en ai marre. Il faut que cette envie grandisse en moi, avec tonicité. J'ai envie de pouvoir dire : à la Toussaint, je ne vous verrais que quelques heures parce que je n'ai pas envie de vous voir plus souvent. Et s'ils pensent que je suis bizarre, stupide, j'ai envie de me dire : eh bien, pensez-le, cela m'est égal.
Je n'ai plus envie de faire comme si j'étais la plus forte et que tout m'était égal. J'ai envie de dire : certaines choses me font de la peine et pour cette raison je vous verrais moins.
C'est tout bête au fond, tout bête. C'est si simple. A se demander comment je n'ai pas réussi avant, non pas à le faire (car ce n'est pas fait) mais à le penser avec cette simplicité nette. Au moins, être claire sur mes sentiments.
je fuyais des souvenirs désagréables, la pensée de ma famille, de ma toute petite famille. Je voulais régler cela en moi même, seule, entre moi et moi, et puis retourner au milieu de la famille d'un air de rien, comme impassible. Comme si j'étais au dessus de ça.
Et puis à force d'y penser, je me sens l'envie de marquer le coup ; c'est tout récent et pas très fort, mais ça vient. J'ai envie de dire, que j'en ai marre. Il faut que cette envie grandisse en moi, avec tonicité. J'ai envie de pouvoir dire : à la Toussaint, je ne vous verrais que quelques heures parce que je n'ai pas envie de vous voir plus souvent. Et s'ils pensent que je suis bizarre, stupide, j'ai envie de me dire : eh bien, pensez-le, cela m'est égal.
Je n'ai plus envie de faire comme si j'étais la plus forte et que tout m'était égal. J'ai envie de dire : certaines choses me font de la peine et pour cette raison je vous verrais moins.
C'est tout bête au fond, tout bête. C'est si simple. A se demander comment je n'ai pas réussi avant, non pas à le faire (car ce n'est pas fait) mais à le penser avec cette simplicité nette. Au moins, être claire sur mes sentiments.
lundi 6 septembre 2010
Je voudrais penser que la vie est simple, et elle l'est, mais nos pensers sont complexes et détruisent cette simplicité.
J'ai du mal à demeurer simple et à profiter simplement des moments. Je les vois, je vois un morceau de soleil, je perçois une brise, mais je dois faire un effort pour les apprécier.
J'ai du mal à demeurer simple et à profiter simplement des moments. Je les vois, je vois un morceau de soleil, je perçois une brise, mais je dois faire un effort pour les apprécier.
mercredi 4 août 2010
dimanche 18 juillet 2010
jeudi 15 juillet 2010
J'ai reçu un appel d'une amie, Marine, hier. Elle était en voiture, cela faisait un bruit terrible. Je ne suis plus près d'elle depuis deux ans maintenant, nous ne nous voyons plus beaucoup. quand j'ai quitté la ville où nous vivions, elle m'a emmené au restaurant très gentiment, et j'ai été touchée de sa gentilesse, surtout que je m'en fichais, moi, de partir ,e t que je ne comprenais pas qu'elle en soit si triste. Mais depuis, je vois bien qu'elle m'oublie et m'appelle de moins en moins,c e qui me semble normal.
A dire vrai, cette conversation d'hier, assez contrainte, j'avais l'impression de réciter une leçon, oui ça va, les enfants vont bien, je n'ai pas trop chaud - je me suis demandé à quoi ça rimait d'avoir des conversations comme ça ?
A dire vrai, cette conversation d'hier, assez contrainte, j'avais l'impression de réciter une leçon, oui ça va, les enfants vont bien, je n'ai pas trop chaud - je me suis demandé à quoi ça rimait d'avoir des conversations comme ça ?
mercredi 14 juillet 2010
Les réseaux sociaux en ligne facilitent les rapports réels
Les experts des nouvelles technologies reconnaissent un impact positif des plates-formes collaboratives sur leurs relations sociales. Notamment en ce qui concerne leurs contacts professionnels.
Intéressant. Lire là. (ça a à voir avec mon boulot)
L'autre jour, une amie s'est émue de trouver son fils mignon... Nous en avions parlé. Je crois qu'il est sain que les parents soient en admiration pour leurs enfants. pas trop, mais pas trop peu.
mardi 13 juillet 2010
dimanche 11 juillet 2010
lundi 5 juillet 2010
samedi 3 juillet 2010
mercredi 23 juin 2010
mardi 22 juin 2010
C'est vraiment surprenant comme je lui ressemble, tout en étant différente.
Toutes deux, quand une situation nous déplait, nous fuyons. Mais nous le faisons de façon totalement différente, Sa façon à elle est agressive. Exemple : dans le boulot, du temps où elle bossait, elle cessait de venir, se prétendait harcelée par les contraintes de son emploi, déplaçait des conseillers du travail ; comme elle changeait tout le temps de boulot, ça n'allait pas loin, mais elle aurait fini par avoir d es problèmes si elle avait du aller se faire accompagner tout le temps par des conseillers pour résoudre ses problèmes pro.
Mais là je me demande si ça ne sera pas plus grave : ce qu'elle veut maintenant, c'est que l'on hospitalise son mari.En fait, elle ne travaille plus, du coup elle se concentre sur son couple. Elle ne supporte rien de son mari, n'en fait qu'à sa tête, et fait parfois de très grosses erreurs. Dautre part, alors qu'elle passe ses journées à ne rien faire, elle a sa liste de tâches à lui faire faire tous les jours, parce qu'il est hors de question qu'elle fasse tout. Dernièrement, il a craqué, elle est allée à la police, voir l'assistante sociale, voire tous les psy qu'elle connaissait et qu'elle avait déjà vu pour ses problèmes perso ou de couple. Tous lui ont dit qu'on ne peut hospitaliser quelqu'un pour une grosse crise de colère.
Les choses se sont calmées mais n'en resteront pas là, elle veut toujours gagner, aller au fond des choses.
Ce qui me trouble, c'est que nos réactions intérieures sont similaires. La première fois que j'ai eu des problèmes avec mon mari, l'idée du dialogue ou de le supporter ne m'est pas venue à l'esprit, pas une seconde, j'ai immédiatement pensé qu'il fallait partir. Je n'ai pu le faire, mais en songeant à partir, j'ai crée de la distance, du recul, entre moi et le problème, et ça m'a fait réfléchir et j'ai songé au dialogue.
Mais depuis, chaque fois que ça coince un peu, c'est pareil : ce qui me soulage est de me voir partir, alors que plus le temps passe, plus ça devient irréaliste de partir... Irréaliste parce que nous avons trop de choses à nous et qu'il serait épuisant voire impossible de nous recréer un qqc chacun de notre côté : je sais bien que nos disputes ne sont pas dramatiques (souvent une heure après je ne réussis pas à me souvenir de leur cause), donc mieux vaut raler puis se réconcilier.
Je suis convaincue que c'est pareil pour elle : comme moi, elle est, sur le moment, submergée par la colère et la rage et veut en finir, se débarrasser, quitter son mari. Et puis deux jours après elle ne sait plus pourquoi elle était fachée.
Toutes deux, quand une situation nous déplait, nous fuyons. Mais nous le faisons de façon totalement différente, Sa façon à elle est agressive. Exemple : dans le boulot, du temps où elle bossait, elle cessait de venir, se prétendait harcelée par les contraintes de son emploi, déplaçait des conseillers du travail ; comme elle changeait tout le temps de boulot, ça n'allait pas loin, mais elle aurait fini par avoir d es problèmes si elle avait du aller se faire accompagner tout le temps par des conseillers pour résoudre ses problèmes pro.
Mais là je me demande si ça ne sera pas plus grave : ce qu'elle veut maintenant, c'est que l'on hospitalise son mari.En fait, elle ne travaille plus, du coup elle se concentre sur son couple. Elle ne supporte rien de son mari, n'en fait qu'à sa tête, et fait parfois de très grosses erreurs. Dautre part, alors qu'elle passe ses journées à ne rien faire, elle a sa liste de tâches à lui faire faire tous les jours, parce qu'il est hors de question qu'elle fasse tout. Dernièrement, il a craqué, elle est allée à la police, voir l'assistante sociale, voire tous les psy qu'elle connaissait et qu'elle avait déjà vu pour ses problèmes perso ou de couple. Tous lui ont dit qu'on ne peut hospitaliser quelqu'un pour une grosse crise de colère.
Les choses se sont calmées mais n'en resteront pas là, elle veut toujours gagner, aller au fond des choses.
Ce qui me trouble, c'est que nos réactions intérieures sont similaires. La première fois que j'ai eu des problèmes avec mon mari, l'idée du dialogue ou de le supporter ne m'est pas venue à l'esprit, pas une seconde, j'ai immédiatement pensé qu'il fallait partir. Je n'ai pu le faire, mais en songeant à partir, j'ai crée de la distance, du recul, entre moi et le problème, et ça m'a fait réfléchir et j'ai songé au dialogue.
Mais depuis, chaque fois que ça coince un peu, c'est pareil : ce qui me soulage est de me voir partir, alors que plus le temps passe, plus ça devient irréaliste de partir... Irréaliste parce que nous avons trop de choses à nous et qu'il serait épuisant voire impossible de nous recréer un qqc chacun de notre côté : je sais bien que nos disputes ne sont pas dramatiques (souvent une heure après je ne réussis pas à me souvenir de leur cause), donc mieux vaut raler puis se réconcilier.
Je suis convaincue que c'est pareil pour elle : comme moi, elle est, sur le moment, submergée par la colère et la rage et veut en finir, se débarrasser, quitter son mari. Et puis deux jours après elle ne sait plus pourquoi elle était fachée.
mardi 11 mai 2010
Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !
Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.
Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !
dimanche 24 janvier 2010
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